Piano à queue ERARD 1893 acajou de cuba

PIANO À QUEUE ERARD 1893

Marque : ERARD
Modèle : Demi-queue – n°2 de 1893 modifié par ERARD à l’usine en 1909 n°0
Taille  : L 182 cm – l 138 cm
Facture : Cordes parallèles, cadre serrurier 5 barres
Mécanique : ERARD, feutres d’origines
Clavier : 7oct La-la, en ivoire et ébène d’origine
Ébénisterie : Acajou de Cuba moiré
Finition : Vernis au tampon traditionnel
Style : Piano français, classique
État actuel : Restauré
Temps de restauration : Terminé

ERARD 1893 Le « Piano Charmant »

Comme dans un conte de fée, cet ERARD demi-queue de 1893 trônait depuis de longues décennies tel un « Piano Charmant » abandonné dans le salon Louis XV du Château de Bois Joly.

Récemment ôté du Château de Bois Joly pour rejoindre l’atelier Piano des Charentes, il recevra une restauration minutieuse pour retrouver toute sa jeunesse d’antan.

ERARD Queue Château de Bois Joly
ERARD Queue Acajou de Cuba 1893
John Broadwood & Sons 1900
erard-chateau-bois-joly
Le Salon du Château de Bois Joly - ERARD Queue 1893
erard-1893-01
ERARD Queue 1893
erard-queue-acajou-cuba-1893-01
erard-queue-acajou-cuba-1893-02
erard-queue-acajou-cuba-1893-03
erard-queue-acajou-cuba-1893-04
erard-queue-acajou-cuba-1893-05
erard-queue-acajou-cuba-1893-06
erard-queue-acajou-cuba-1893-07
erard-queue-acajou-cuba-1893-08
erard-queue-acajou-cuba-1893-09
erard-queue-acajou-cuba-1893-10
erard-queue-acajou-cuba-1893-12
erard-queue-acajou-cuba-1893-11
erard-queue-acajou-cuba-1893-13
erard-queue-acajou-cuba-1893-14
previous arrow
next arrow
Shadow

Le Château de Bois Joly

Le Château de Bois Joly de style néo-classique a été construit sous le second empire en 1852 sur le site d’un ancien manoir éponyme par Mademoiselle Françoise Bonnamy. Il possède un vaste parc romantique avec des vasques portant Vénus, un pont métallique, des bassins de Neptune et de Pan, un kiosque à musique… Une ferme au nord avec écurie et un pressoir ont été conservés lors de sa récente restauration.

Château de Bois Joly
Le Château de Bois Joly – Crédit photo : Bernard Bègne
Retour en haut